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CYCLE DE DANSE À LA MAISON: DE L’HEXAGONE AU CHILI

Le centre de création NAVE et l’Institut français du Chili présentent le cycle de danse à la maison DE L’HEXAGONE AU CHILI diffusé sur les différentes plateformes de NAVE, tous les jeudis, du 6 au 29 août à 19h00 http://nave.io/nave-tv/

Les oeuvres seront disponibles pendant une semaine pour être visionnées.

Programmation

White Dog de Latifa Lâabissi, jeudi 6 août, 19h00

Dans cette oeuvre, l’artiste établit une réflexion autour de l’intérêt pour le mélange des différents genres et de la diversité des individus. La danse que la chorégraphe invente est l’une des identités en processus. Elle les fusionne avec des éléments de l’imaginaire collectif, incorporé de manière subconsciente. Motivée par le pouvoir du rire, sa chorégraphie s’assimile librement, comme une tornade de gestes et de signes poussés par une énergie sans limite.

Ciel de Volmir Cordeiro, jeudi 13 août, 19h00

Le ciel est un espace infini qui embrasse tout. Le ciel assure le cours des choses. Le ciel laisse venir. Le choix de ce titre est dû au fait que le ciel ne privilégie rien, aucun moment, aucun être. Du ciel l’on retient l’ouverture comme adresse pour cette danse. Lorsque l’artiste s’adresse à lui-même, un espace est créé parce qu’il cherche à toucher le dehors. Il s’épaissit parce qu’il est ici et là-bas. Les nerfs, le désastre et la saturation…Tout se mélange dans cette danse où le corps reste peuplé.

Self Made Man de Nina Santes, jeudi 20 août, 19h00

Dans SELF MADE MAN, l’artiste entremêle le mouvement, les voix parlée et chantée, le déroulement de la scénographie en temps réel. En articulant ces différentes pratiques, elle voit la scène comme un lieu possible pour un vaisseau, une sorte d’atelier de production comme un lieu immersif pour un corps, un espace. SELF MADE MAN célèbre l’équilibre entre le temps de la pratique concrète pour se construire soi-même, se (dé)construire et se (re)construire. Une oeuvre qui mêle corps, sons, figures, paysages, fictions et langage en lien avec le monde.

Disparue de Marcela Santander, jeudi 27 août, 19h00

A l’origine, DISPARUE est une danse japonaise jamais vue auparavant. C’est un solo émergent qui naît de cette absence. Partant d’une position accroupie, c’est un travail qui met en tension les mots et l’attente face à l’idée du repos. L’artiste voyage dans l’espace entre les Andes et l’Asie jusqu’à explorer les réminiscences occidentales de cette posture. L’investigation géographique, politique et sociale, explore la restriction d’une danse vue d’en bas.


Août - 06 - 29 - 2020
Expiré!
Journée entière